En séjour dans la province du Kasaï-Oriental, la ministre nationale de la formation professionnelle a fait la ronde dans les 5 territoires que compte la province. Partout où elle est passé, elle a lancé les travaux de construction des centres de formation professionnelle.
Pour la ministre de la formation professionnelle, ceci est le début du programme de développement à la base de 145 territoires. Ainsi samedi 19 et dimanche 20 Novembre, elle a été respectivement à Tshitolo dans le territoire de Katanda, Bena Nyandu dans celui de MIABI et à Bakua Kaja a Lupatapata.
Antoinette Kipulu a sur place à Tshitolo dans l’un des territoires, déclaré que le Programme de Développement Local de 145 territoires dans son volet formation professionnelle, est salutaire pour la population dans la mesure où elle permet à cette dernière de se former et d’être utile pour la société, ce qui a pour avantage, de lutter contre le chômage.
‹‹ C’est avec une immense joie que je viens lancer officiellement les travaux de construction des infrastructures de formation professionnelle et métier dans nos territoires. Je viens au nom du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi et sur instruction du premier ministre Sama Lukonde chef du gouvernement, pour concrétiser la promesse faite lors de la tournée du Chef de l’État ici au Kasaï-Oriental. Ce programme de développement local de 145 territoire volet formation professionnelle, vise à combler les déficits en infrastructures de formation professionnelle et d’apprentissage afin d’offrir à la population du coin et de ses environs, la possibilité de se former et de devenir utile dans la société ››, a dit Antoinette Kipulu.
Elle a appelé tous les jeunes à faire de ce centre un bon usage tout en prenant soins car ce centre est leur avenir.
‹‹ Vous avez tous, la responsabilité de veiller au grain pour que le programme de développement local de 145 territoires volet formation professionnelle soit une véritable réussite. Apportez votre contribution tend que vous pouvez car, c’est aussi votre affaire ›› a-t-elle conclu.
Richard KAYEMBE