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LMC SA : 48 ans d’existence, le DG Jean-Claude Mukendi invite les agents à s’approprier de la vision de LMC d’ici 2025

Créée en 1974, la société Lignes Maritimes Congolaises SA fête ce vendredi 2 Décembre 2022, ses 48 ans d’existence. A cette occasion, le Directeur Général, Jean-Claude Mukendi Mbiyamuenza a, dans son mot de circonstance, passé en revue l’état actuel de la société.

De prime à bord, le patron du géant des mers a présenté les hommages les plus déférents au Président de la République, Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, avant de réassurer l’indéfectible soutient et l’attachement en cette période où la République est victime d’une agression Rwandaise sous le label du M23. Et sa gratitude au Chef du Gouvernement, S Jean-Michel Sama Lukonde et tout le gouvernement pour son appui dans le fonctionnement de LMC.

48 ANS D’EXISTENCE

Durant plus de 4 décennies, l’Armement National de la République démocratique du Congo, Lignes Maritimes Congolaises SA, a sans interruption opéré ses activités maritimes à bon escient, grâce à des stratégies commerciales agissantes et renouvelées. LMC a contribué au développement de l’économie et du commerce extérieur Congolais.

« Porte étendard de notre pays, Lignes Maritimes Congolaises est un attribut de souveraineté de la RDC sur les mers et océans. Elle est l’instrument privilégié d’appui à l’action salvatrice amorcée par le Chef de l’État, pour l’émergence de l’économie congolaise », a rappelé le Directeur Général dans son discours.

AUX AGENTS, CADRES ET RETRAITES

Le numéro 1 du géant des mers a commencé par féliciter les retraités et agents actifs de LMC qui ont contribué au maintien de cette entreprise dans la sphère maritime internationale.

« Nous voulons faire de LMC un outil incontournable du commerce extérieur congolais au service du Gouvernement. La vision stratégique de LMC aujourd’hui est l’affirmation de Lignes Maritimes Congolaises en qualité de transporteur maritime et multimodal régional au service de la RDC et de l’Afrique. Cette vision revêt un caractère régalien en raison du fait que chaque État a le droit d’exercer la souveraineté sur son trafic maritime », a renchéri Jean-Claude Mukendi Mbiyamuenza.

Engagée dans la relance de la société, la Direction Générale de Lignes Maritimes Congolaises n’a qu’un seul et unique souhait, relancer globalement l’entreprise en lui dotant de ses navires propres.

Cellule Presse et Communication

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