Si le ridicule pouvait tuer, certains politiciens vereux congolais ne seraient plus de ce monde. Un profond sentiment de trahison a été ressenti dans le chef des congolais face au tableau macabre de la fraude constatée dans les méandres du vote du 20 décembre.
Qui a bu, boira , dit- on. La recherche effrénée du pouvoir pour le pouvoir ne cesse de hanter malheureusement certains politiciens véreux congolais.
De nombreux caciques du Front Commun pour le Congo plateforme politique de Joseph Kabila, ancien président de la République, font partie des politiciens invalidés aux législatives nationales, lesquels avaient opéré un changement de camp pour l’Union sacrée de la Nation au motif de repositionnement politique.
Ils viennent de récolter la monnaie de leur pièce. À l’annonce du communiqué de la CENI dénonçant les irrégularités commises par ces caciques invalidés, la confiance du peuple a été sérieusement érodée. Pour une certaine opinion, ces élections étaient censées être un moment de renouveau et de changement pour la RDC, mais elles ont été entachées d’actes frauduleux qui ont choqué et outragé les patriotes dignes de ce nom.
Il convient de souligner que la crédibilité des élections est essentielle pour le maintien de la stabilité et de la démocratie dans le pays. Les élections doivent être libres et équitables, sans fraude ni intimidation.
Si la représentativité à tous les niveaux n’est pas respectée, cette situation pourrait entrainer des graves conséquences pour le Pays. La balle est toujours dans le Camp de la CENI pour redresser la barre par rapport à tous ces cas des fraudes constatées.
Contexte
Dans son communiqué, la CENI a déclaré continuer « à enregistrer les dénonciations en rapport avec les cas de vandalisme, de détention illégale des dispositifs électroniques de vote ainsi que de violences perpétrées sur les électeurs » et son personnel ».
La CENI devait publier les résultats des législatives le 3 janvier, mais a repoussé la date à cause de la compilation en cours des voix.
Surveillance.cd