Dans un monde politique souvent marqué par l’égo et la recherche d’intérêts personnels, certaines figures se distinguent par leur dévouement sincère à la cause commune. Simon Fana Musangu, connu affectueusement sous le nom de Saiza 9, incarne cette rare race de dirigeants pour qui servir est plus qu’un devoir : c’est une vocation.
Dès les premières années de son engagement public, bien avant d’occuper les hautes fonctions de ministre provincial en charge de la jeunesse, Sports et Loisirs et de la Communication, Simon Fana Musangu s’est illustré par sa proximité avec les citoyens. Loin des projecteurs, il s’est toujours investi dans des actions sociales, aux côtés des plus démunis.
Il prône une valeur trop souvent oubliée : le sourire du prochain. Pour lui, la vraie grandeur ne se mesure pas au rang ou aux privilèges, mais à la capacité de se rendre utile, d’alléger les souffrances, de redonner espoir à ceux qui n’en ont plus. Son parcours témoigne d’un homme qui sait s’oublier pour le bien commun.
Loin de se contenter d’une posture de représentation, Saiza 9 agit sur le terrain. On l’a vu participer à la réhabilitation d’infrastructures sportives, soutenir les jeunes talents et s’impliquer personnellement dans l’encadrement d’activités citoyennes. Son bureau est souvent ouvert, non seulement aux partenaires officiels, mais aussi aux citoyens ordinaires, porteurs de projets et d’initiatives locales.
Dans le domaine du sport, il s’est donné pour mission de faire émerger une jeunesse dynamique, disciplinée et fière. Il croit fermement que le sport est un vecteur d’unité, de paix et de développement personnel. Grâce à ses efforts, plusieurs disciplines jadis négligées connaissent aujourd’hui un regain d’intérêt.
La communication, pour lui, est bien plus qu’un outil. C’est un levier d’éducation, de mobilisation et de construction d’une nouvelle citoyenneté. Il met un point d’honneur à promouvoir un discours apaisé, constructif, respectueux des valeurs républicaines, dans un esprit de dialogue constant avec les populations.
L’initiation à la nouvelle citoyenneté est l’un de ses chevaux de bataille. Il veut façonner une génération consciente de ses droits et de ses devoirs, engagée pour sa communauté et ancrée dans une culture de responsabilité. Pour ce faire, il multiplie les campagnes de sensibilisation, souvent en personne, dans les écoles, les quartiers, les stades.
Ce qui frappe chez Simon Fana Musangu, c’est cette humilité naturelle, presque désarmante. Il ne se considère jamais au-dessus des autres. Au contraire, il marche aux côtés des siens, partageant leurs réalités, écoutant leurs doléances, répondant présent sans attendre une reconnaissance quelconque.
Ses collaborateurs le décrivent comme un homme à l’écoute, un travailleur infatigable, toujours animé par l’intérêt général. Les témoignages de citoyens reconnaissants ne manquent pas : femmes entrepreneures soutenues, jeunes découragés remis en selle, clubs sportifs relancés, écoles équipées… La liste est longue.
Saiza 9 a su gagner le cœur de nombreux compatriotes, non par des discours, mais par ses actes. Dans chaque geste, dans chaque projet, on retrouve cette même constance : le désir d’élever les autres, de les accompagner sur le chemin de la dignité et de l’autonomie.
Loin des querelles politiciennes, il incarne un leadership d’unité, d’action et de compassion. À travers sa vision, c’est toute une société qu’il invite à se réinventer, à bâtir ensemble un avenir meilleur fondé sur le respect, l’engagement et la solidarité.
En somme, Simon Fana Musangu n’est pas simplement un ministre. Il est un repère moral, un bâtisseur de liens, un modèle d’humanité en politique. Une source d’inspiration pour tous ceux qui croient encore à la noblesse du service public.
B.A