Quelques heures seulement après la signature solennelle de l’accord de paix au State Department, le Président américain Donald Trump a reçu en audience exceptionnelle les deux ministres des Affaires étrangères impliqués dans ce tournant diplomatique majeur.
À 13h précises, heure locale, les plumes ont coulé au Département d’État pour entériner un accord qui marque potentiellement la fin de plusieurs années de tensions dans la région des Grands Lacs. Peu après, les deux chefs de diplomatie, visiblement émus, ont franchi les grilles de la Maison Blanche, accueillis avec les honneurs par le 45e Président des États-Unis.
Dans une déclaration à la presse, Donald Trump a salué « une étape décisive pour la paix mondiale », ajoutant que « les États-Unis restent un partenaire engagé pour une stabilité durable en Afrique. » L’ancien président, qui joue un rôle actif dans la diplomatie parallèle depuis son retour sur la scène politique, s’est félicité d’avoir contribué à rapprocher les parties en conflit.
Les deux ministres ont à leur tour exprimé leur gratitude envers la médiation américaine, affirmant que cette rencontre à la Maison Blanche symbolise un nouveau chapitre dans les relations entre leurs nations.
Des discussions à huis clos se sont poursuivies dans le Bureau Ovale, avec au cœur des échanges : les garanties d’application de l’accord, la coopération économique régionale, et le suivi d’un cessez-le-feu permanent.
Cet accord, bien que fraîchement signé, suscite déjà l’espoir d’un rééquilibrage stratégique dans une région longtemps marquée par l’instabilité. Les regards sont désormais tournés vers l’avenir, avec en toile de fond l’engagement solennel de construire une paix durable.