C’est une date qui marquera un tournant dans l’histoire tourmentée de la région des Grands Lacs. Après plus de trois décennies de tensions et de violences récurrentes à l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), un Accord de Paix a été signé à Washington entre la RDC et le Rwanda, sous la médiation active des États-Unis d’Amérique.
La cérémonie, tenue en présence du Secrétaire d’État américain, a vu la Ministre d’État congolaise en charge des Affaires étrangères et son homologue rwandais parapher un accord qui ambitionne de mettre fin aux hostilités dans les provinces congolaises du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, théâtre d’un conflit armé aggravé par les agissements du M23-AFC, soutenu par Kigali.
L’Union Sacrée de la Nation, par la voix de son présidium, s’est réjouie de cette avancée diplomatique majeure. Elle rend un hommage appuyé au Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qualifié de « Haut Stratège de la paix », dont la détermination et la diplomatie offensive ont permis d’arracher cet accord salué à l’échelle continentale.
« Cet accord n’est pas un simple document ; c’est le fruit d’une résistance patriotique, d’un combat mené à la fois sur le terrain politique, militaire et diplomatique », indique la déclaration officielle du présidium.
L’Union Sacrée appelle par ailleurs toutes les composantes de la Nation à se rallier autour des institutions républicaines, à faire bloc derrière le Chef de l’État, et à s’impliquer activement dans cette nouvelle phase de réconciliation et de reconstruction nationale.
Ce moment historique est vu comme le début d’une ère nouvelle, marquée par le rejet des ingérences extérieures, la réaffirmation de la souveraineté nationale et la volonté d’écrire une nouvelle page pour l’Est de la RDC, longtemps meurtri par les conflits armés.