Dans une époque où les vents du tribalisme, du séparatisme et des ambitions personnelles soufflent fort sur la République Démocratique du Congo, Le Camp de la Patrie s’élève comme une boussole morale et républicaine. Bien plus qu’un simple mouvement politique, il se veut un état d’esprit, une vision patriotique qui place l’unité nationale au-dessus des querelles politiciennes.
« Tout Congolais a le droit et le devoir sacré de défendre le pays et son intégrité territoriale en cas de menace ou d’agression extérieure », rappelle Martin Fayulu en citant l’article 63 de la Constitution. Cette disposition, souvent négligée, retrouve tout son sens dans le discours de ceux qui refusent la balkanisation de la RDC.
Le Camp de la Patrie, c’est cette voix lucide qui appelle chaque citoyen à se lever contre la division, à résister aux manipulations étrangères, et à bâtir ensemble une nation forte, enracinée dans l’histoire, la dignité et l’espoir d’un avenir commun.
Dans les provinces déchirées par les conflits, dans les institutions rongées par les intérêts égoïstes, le Camp de la Patrie résonne comme une alarme.
« Le Congo n’est pas à vendre. Le Congo n’est pas à diviser. Le Congo est à défendre », a-t-il ajouté.
Ce cri du cœur ne vient pas de l’utopie, mais d’une volonté ferme pour faire de chaque Congolais un soldat de l’unité nationale, un rempart contre l’effritement de notre souveraineté.
B.A