Comme pour corroborer ce que dit l’adage »CHASSEZ LE DIABLE ET IL REVIENT AU TROT », la Patrouille financière de l’Inspection Générale des Finances vient de découvrir une cabale bien montée sur pilotis à la SNEL, et cette fois par le Chef de Division Exploitation au Département de Distribution en Provinces qui, comme sûrement dans ses combines (il l’a prêché par l’exemple non !) s’est mis à gueuler tel un ours blessé sur les inspecteurs de l’IGF qui tenaient à en avoir le cœur net sur ce gaspillage intelligent transformé en mission de dépannage pas du tout orthodoxe pour une mission de 12 jours à Lubumbashi, où ils devaient réaliser un travail de dépannage, pourtant toujours bien fait par les dépanneurs de la SNEL/HAUT-KATANGA à LUBUMBASHI, sans jamais demander l’intervention d’une quelconque main experte à envoyer par KINSHASA._
C’est alors qu’en lieu et place de réponse, les Mousquetaires de l’IGF ont essuyé des réprimandes acerbes (et pour le moins feintes) sur un ton de Capitaine Haddock en furie contre le Professeur Tournesol, de la part du prince détourneur intouchable.
Se rendant à l’évidence que les dépenses souvent opérées et effectuées au sein de cette entreprise souffrent d’une opacité craquante pur et simple, lesquelles dépenses très souvent mirobolantes, ont mis la puce à l’oreille de l’IGF, le SAMOURAÏ DES TEMPS MODERNES Jules Alingete, qui a diligenté une enquête sous-forme d’Audit ; ce qui n’a pas plu à Mr le très courroucé Chef de Division qui s’est agité comme un rameau d’olivier pendant la saison sèche {trop de vent qui souffle}.
Conscient du rôle de protecteur des biens et recettes publiques souvent désorientés par les décideurs assoiffés d’argent sale, la SENTINELLE FINANCIÈRE de la République n’a nullement l’intention de faire volte-face devant de tels agissements affichés par ces inciviques sans alibis et qui n’ont point d’autres raisons que chercher à justifier, sans trop y parvenir, des sorties régulières de fonds de l’État pour des besoins inavoués. L’IGF a bénéficié de toutes les attentions du Boss pour mener sans complaisance ce travail d’apurement.
Et comme si cela ne suffisait pas, Mr le Grognon est allé jusqu’à des menaces incongrues, près de l’hystérie, incapable de se contenir en grand citoyen de la ville pour se lancer dans une diatribe décousue contre le travail de l’IGF. Et pour compliquer le bidon, il filme la scène et la partage sur les réseaux sociaux, croyant discréditer ou diaboliser la mission des Mousquetaires financiers ; peine perdue car, au moins la question était d’obtenir des justifications sur cette sortie suspecte d’argent sollicitée pour une mission qui n’avait point d’objet, les techniciens LUSHOIS étant sur la réparation de cette juteuse panne, qu’ils avaient déjà réussi à dépanner COMME À L’ACCOUTUMÉE.
Malheureusement, trop versés dans des subterfuges caverneux de corruption à outrance, ces creuseurs de trous dans les caisses de l’ÉTAT semblent être distraits, alors que l’IGF ne badine nullement, faisant fi de vos titres ou grades quand il s’agit de rechercher la lumière sur tout cas suspect.
Cette agitation n’a d’autres explications que de faire reculer ou saboter, ou pire encore, de contraindre Alingete à être plus coopératif c’est-à-dire à se liguer derrière leur mur de l’intolérance. Non, il a juré de garder le cap afin de mettre à genoux toute cette marmaille des pilleurs, donnant lieu au retour du sens patriotique de l’agent de l’État oeuvrant dans un service générateur de recettes.
Empreinte+Magazine / via Surveillance.cd