À Bruxelles, le Président Félix Tshisekedi a une fois de plus choisi la voie de la responsabilité en appelant à une désescalade dans la région des Grands Lacs. Ce geste, que d’aucuns interprètent comme une faiblesse, est en réalité l’expression d’un leadership lucide, plaçant la stabilité et l’avenir des peuples au-dessus des rancunes politiques et militaires.
Un message qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. À Kinshasa, Tobie Kayumbi, député national élu de Mbuji-Mayi, salue cette posture présidentielle et affirme son soutien indéfectible au Chef de l’État. « Que ceux qui entendent gronder un tambour vide méditent sur leurs propres échos », a-t-il déclaré avec force, rappelant ainsi que les appels à la haine ou à la confrontation ne sont que des illusions sans issue.
Pour Kayumbi, le moment n’est plus aux discours stériles ni aux querelles politiciennes. Le Congo, meurtri par des décennies d’instabilité, a besoin d’une nouvelle boussole : celle du courage, de la paix et de la vision. En soutenant publiquement la démarche de Tshisekedi, le député de Mbuji-Mayi se place dans le camp de ceux qui préfèrent bâtir l’avenir plutôt que de ressasser les blessures du passé.
Déterminé et sans équivoque, Tobie Kayumbi envoie ainsi un signal clair : la classe politique congolaise doit s’unir derrière le Président de la République dans cette quête de paix. Car, au-delà des postures et des ambitions, l’histoire retiendra ceux qui auront choisi la réconciliation, et condamnera ceux qui auront préféré le vacarme inutile des « tambours vides ».
Grâce Mukoj









